Des photos féériques sur fond de musique, sont certainement la meilleure façon de se ressourcer, pour un moment magique...
La petite enfance reste la période la plus belle et la plus attendrissante. Ne "grillons" pas les étapes, et laissons l'enfance à l'enfance.
Des amours d'enfance...
Comment ne pas être attendri devant ce petit bonhomme consolant sa petite soeur, face à une situation certainement bien difficile...
L'enfant et ses émotions...
Peut-on être fière d'une société qui traite avec autant de mépris des hommes et des femmes, qui pour beaucoup n'ont pas choisi de devenir des sans-abris, des sdf, des marginaux...
La perversité des élus, va très loin... J'ai vu des rangées de cactus, des bancs avec des accoudoirs au centre, des petites herses...
N'oublions pas, que parmi cette population, certains travaillent, mais leur salaire ne leur permet pas d'obtenir un logement.
Nous savons que la société est divisée en deux : La France d'en haut et la France d'en bas (propos, sans état d'âme, d'un premier ministre de l'époque...)
Il est dangereux de traiter avec mépris, des personnes qui font tout pour s'en sortir, et qui sont témoins d'injustices "légalisées".
La limite du supportable est peut-être atteint, non ?
Soyons solidaires des laissés-pour-compte !
Tu n'avais pas les mots, mais, dans tes yeux j'ai lu la tristesse, la détresse d'un chien trahi qui croyait pourtant en ses maîtres. Tu leur avais donné, ton amour et ta fidélité. Tu pensais que les hommes étaient sincères et vrais. Il t'avait choisi, alors pour toi, c'était pour la vie.
Mais un jour, un bébé est arrivé, alors, tu n'étais plus rien. J'ai vu petit à petit mes maîtres changés. Pourtant, ce bébé je l'aimais ! Je voulais même lui faire des petites léchouilles, le protéger...
Puis un matin, j'ai vu mes maîtres se préparer et me regarder. Ils ont décroché ma laisse, j'étais tellement heureux, nous allions nous promener ! Le parcours ne me sembla pas très long.
Nous sommes arrivés, mais l'endroit me sembla cynique. Beaucoup de chiens enfermés dans des boxs aboyaient en se jetant sur les grilles, certains étaient très tristes et se réfugiaient au fond de leur niche. je ne comprenais pas ce que nous venions faire ici ? Une personne est venue me chercher, m'a emmené dans un chenil, puis, elle a refermé la porte. Je pensais que mes maîtres allaient revenir et que j'allais repartir avec eux. Mais ils ne sont jamais revenus.
Je les attends tous les jours, le museau contre la grille et les yeux rivés vers l'entrée. Ils ne peuvent pas m'avoir oublié, moi qui les ai tant aimés. Je crois que je vais me laisser mourir...
©Harmonia
Il observait sans cesse
Tous tes faits et gestes,
Lorsque, assis au coin de la cheminée
Tu méditais sur les années passées...
Tes yeux remplis des choses que tu ne pouvais dire,
Mais que son instinct savait si bien traduire...
Doucement il te léchait les mains,
Dans ses yeux, quelque chose...d'humain.
Penchant sa tête,
Il semblait te dire : je suis là mon maître !
Que de fois as-tu pensé ne plus lutter,
Disparaître, et tout arrêter...
Mais son bon et doux regard rempli d'amour
Te donnait la force de continuer ton parcours.
Sans toi sa vie était finie,
Placement ou euthanasie ?
A cette pensée
Ton coeur se serrait.
Quelle trahison, toi mon fidèle compagnon
Qui me voua une si grande adoration.
Consolateur de toutes mes douleurs,
Chaque jour tu sus sécher mes pleurs...
Dans mon coeur, ta grande fidélité
A fait de toi un ami pour l'éternité.
Ensemble, nous irons au bout du chemin
Comme deux vrais copains, jusqu'à la fin...
©Harmonia
Il s'en allait l'hiver, l'été
Dans le petit matin frileux
Mon vieux
Y'avait qu'un dimanche par semaine
Les autres jours, c'était la graine
Qu'il allait gagner comme on peut
Mon vieux
L'été, on allait voir la mer
Tu vois c'était pas la misère
C'était pas non plus l'paradis
Hé oui tant pis.
Dans son vieux pardessus râpé
Il a pris pendant des années
L'même autobus de banlieue
Mon vieux
L'soir en rentrant du boulot
Il s'asseyait sans dire un mot
Il était du genre silencieux
Mon vieux.
Les dimanches étaient monotones
On n'recevaient jamais personne
Ça n'le rendait pas malheureux
Je crois, mon vieux.
Dans son vieux pardessus râpé
Les jours de paye quand il rentrait
On l'entendait gueuler un peu
Mon vieux.
Nous, on connaissait la chanson
Tout y passait, bourgeois, patrons,
La gauche, la droite, même le bon Dieu
Avec mon vieux.
Chez nous y avait pas la télé
C'est dehors que j'allais chercher
Pendant quelques heures l'évasion
Tu sais, c'est con !
Dire que j'ai passé des années
A côté de lui sans le r'garder
On a à peine ouvert les yeux
Nous deux.
J'aurais pu c'était pas malin
Faire avec lui un bout d'chemin
a l'aurait p't-êt' rendu heureux
Mon vieux
Mais quand on a juste quinze ans
On n'a pas le coeur assez grand
Pour y loger tout's ces chos's-là
Tu vois
Maintenant qu'il est loin d'ici
En pensant à tout ça j'me dis
"J'aim'rais bien qu'il soit près de moi"
PAPA
Auteur : Michelle Senlis
Compositeur : Jean Ferrat
Interprète : Daniel Guichard
Lisabuzz.com parle de Pour un monde meilleur : Alors là, franchement, c est du caviar, du web-caviar pour être exact ! Pour un monde meilleur regorge de traits d esprits et de perles linguistiques... D ailleurs, peut-on parler de Blog, alors qu il s agit, à n en pas douter, de grande litterature ? Le Nord Ouest a enfin trouvé son nouveau Victor Hugo en la personne de Harmonia.messidor. Ca va être dur de faire mieux. pourvu que ca dure ! signé http://blog.lisabuzz.com
Mon blog n'a aucune prétention littéraire, simplement l'envie de partager avec vous, mes réfexions, mes pensées et parfois mes indignations...
Je remercie cependant LISABUZZ pour son commentaire plein d'humour...
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