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28 septembre 2018 5 28 /09 /septembre /2018 06:35
L'apéro du dimanche....

Je m'appelle Gypsie et le dimanche je prends l'apéro avec mes maitres, Je suis toujours la première à table. Mais un jour que je n'avais pu résister à l'envie... J'ai vidé le plat derrière le dos de ma maîtresse. Elle était très en colère. Je n'étais plus sa fillfille, sa pitchounette, l'amour de sa vie... J'avais de la peine, alors, comme je voulais être aimé, je n'ai jamais recommencé !

 

 

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1 septembre 2018 6 01 /09 /septembre /2018 05:34
Le tablier de grand-mère

 

Je crois que les jeunes d’aujourd’hui ignorent ce qu’est un tablier...  

Vous souvenez-vous du tablier de votre grand-mère ?

 

Les mères et grand-mères portaient un tablier par-dessus leurs vêtements pour les protéger car elles avaient peu de robes de rechange.  

En fait, il était beaucoup plus facile de laver un tablier habituellement en coton qu’une robe, une blouse ou une jupe, faites d’autres tissus.  

Le principal usage du tablier de grand-mère était donc de protéger la robe, mais en plus de cela:    il servait de gant pour retirer un plat brûlant du fourneau, bien avant l’invention des « mitaines à fourneau ».

 

Il était merveilleux pour essuyer les larmes des enfants et, à certaines occasions, pour nettoyer les frimousses salies.

Depuis le poulailler, le tablier servait à transporter les oeufs, les poussins à réanimer,  et parfois les oeufs à moitié éclos, que maman déposait dans un fourneau tiède afin de faciliter leur éclosion.  

 

Quand il y avait de la visite, le tablier servait d'abri aux enfants timides… d’où l’expression : «Se cacher dans les jupons de sa mère» .

Par temps frais , maman le relevait pour s’y emmitoufler les bras et les épaules. > > Par temps chaud, alors qu’elle cuisinait devant le poêle à bois, elle y épongeait la sueur de son front.  

 

Ce bon vieux tablier faisait aussi office de soufflet, alors qu’elle l’agitait au dessus du feu de bois pour le ranimer.  

C'est lui qui servait à transbahuter pommes de terre et bois sec jusque dans la cuisine.  

Depuis le potager, il servait de panier pour de nombreux légumes ; après que les petits pois aient été récoltés, venait le tour des choux.  

En fin de saison, il était utilisé pour ramasser les pommes tombées de l'arbre. 

 

Quand des visiteurs arrivaient à l’improviste, c'était surprenant de voir avec quelle rapidité ce vieux tablier pouvait faire la poussière.

A l'heure du repas, grand-mère allait sur le perron agiter son tablier, c’était signe que le dîner était prêt, et les hommes aux champs savaient qu'ils devaient passer à table.  

 

Grand-mère l'utilisait aussi pour sortir la tarte aux pommes du four et la poser sur le rebord de la fenêtre, afin qu'elle refroidisse ;

de nos jours sa petite fille l’y pose aussi, mais pour la décongeler...  

Autres temps, autres meurs!  

Il faudra de bien longues années, avant que quelqu'un invente un vêtement,

qui puisse rivaliser avec ce bon vieux tablier utile à tant de choses.  

 

Danger ?  

On deviendrait bien fou aujourd’hui rien que de songer à la quantité de microbes qui pouvaient s’accumuler sur le tablier en une seule journée !  

En réalité ,  la seule chose que les enfants de l’époque aient attrapée au contact du tablier de maman ou de grand-maman : c'est l'AMOUR !    

  

 

En souvenir de nos grands-mères, envoyez ce document à ceux qui savent ainsi qu’à ceux qui pourront apprécier... l'histoire du "tablier de grand-mère" . 

 

- L'histoire du tablier de nos grands-mères est une histoire vécue. J'ai connu cette période où les mamies (plutôt mémé à l'époque) utilisaient leur tablier pour essuyer le visage ou les mains des petits enfants. Revenir du jardin avec les légumes, ou du poulailler avec les œufs... Mais il y avait surtout, beaucoup d'amour, chaque geste en était porteur...  à faire connaître aux jeunes, afin de ne pas oublier cette période !

 

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10 août 2018 5 10 /08 /août /2018 10:44
Le prix du miracle

 

C'était quelques jours avant Noël, dans une famille pauvre. Une fillette avait son petit frère, Emmanuel, qu'elle adorait, qui se mourait d'une tumeur au cerveau. Ses parents avaient tout fait pour le sauver. Toutes leurs maigres économies y étaient passées ; rentrant un jour, épuisé, après un ultime échec, le papa s'affala sur une chaise et dit à sa femme qui avait les larmes aux yeux : « Tu sais, chérie, c'est fini. Seul un miracle pourrait le sauver. »

 

La petite fille, dans un coin de la pièce, avait suivi cette conversation murmurée. Elle alla dans sa chambre, prit sa tirelire cachée dans un coin, vida les pièces sur son lit et les compta soigneusement : un franc et onze centimes. Elle referma la petite boîte, la mit dans sa poche, sortit en secret et se rendit à la pharmacie. Lorsque son tour vint, elle s'approcha du comptoir, se hissa sur la pointe des pieds et elle aligna ses pièces devant le pharmacien étonné.
« Qu'est-ce que tu veux ma petite ? - C'est pour mon petit frère. Il est très malade et je viens acheter un miracle. - Que racontes-tu ? - Il a un gros bouton qui lui pousse dans la tête, et papa a dit qu'il fallait un miracle pour le sauver. Alors je suis venue pour acheter un miracle. »

 

Le pharmacien répondit, avec un petit sourire attristé
« Désolé, ma petite, mais nous ne vendons pas de miracles ici... »
Il y avait, dans la pharmacie, un grand monsieur bien habillé, qui écoutait cette étrange conversation. Il s'approcha de la fillette, qui ramassait ses pièces, les yeux remplis de larmes.

 

« Pourquoi pleures-tu petite ? - Monsieur le pharmacien ne veut pas me vendre un miracle... C'est pour sauver mon petit frère Emmanuel, qui est très malade. - Combien as-tu ? - Un franc et onze centimes... mais vous savez je peux trouver plus. - Ce n'est pas nécessaire ; c'est exactement le prix d'un miracle ! Amène-moi chez toi, je voudrais voir ton frère, ton papa et ta maman. »

 

Le monsieur bien habillé n'était autre qu'un des plus grands chirurgiens du cerveau. Il opéra l'enfant et Emmanuel rentra à la maison quelques semaines plus tard complètement guéri. Le miracle avait coûté... un franc et onze centimes... plus, bien sûr, l'amour et la foi d'une enfant.

 

Cette merveilleuse histoire vraie, aurait eu lieu en Inde et publiée aussitôt qu'elle fut connue.. L'amour, l'innocence d'une petite fille et la rencontre d'un homme d'exception a fait le reste...

 

 

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20 juin 2018 3 20 /06 /juin /2018 06:38
Savoir pardonner

Voici l’histoire de deux frères qui vivaient paisiblement à la campagne. Ils travaillaient ensemble à la même ferme en parfaite harmonie. Puis un différend apparu entre eux au sujet d’un malheureux malentendu. Ce désaccord se creusa jour après jour jusqu’à créer un fossé profond entre les deux frères, qui s’entendaient si bien au paravent.

Un jour un vagabond, qui cherchait du travail, frappa à la porte du frère aîné. Il lui offrit de faire des réparations en échange d’être nourri.
– Oui, j’ai du travail pour toi. Regarde de l’autre côté de ce ruisseau, c’est la maison de mon cadet. Il y a quelque temps, il m’a offensé gravement. Je veux lui montrer que ne je ne veux plus de lui. Près de ce ruisseau entre nos habitations, je veux que tu construises un mur afin de lui montrer qu’il n’est plus le bienvenu chez moi.

Le vagabond répondit :
– Je crois comprendre la situation entre vous deux.

Les deux hommes réunirent ensemble le bois nécessaire à la construction. Puis, le frère aîné partit en voyage, laissant le vagabond travailler seul. Douze jours plus tard, l’aîné revint chez lui. Le travail était déjà terminé. Mais quelle surprise ! Au lieu d’un mur, il y avait un joli pont qui unissait les propriétés des deux frères. Aussitôt qu’il vit qu’il était de retour, le cadet sortit de sa maison et courut accueillir son frère en s’exclamant :
– Quel grand coeur tu as ! Construire un pont alors que nous étions en colère ! Je suis fier d’être ton frère ! J’espère devenir un jour être aussi compréhensif et généreux que toi.

Pendant que les deux frères célébraient leur réconciliation, le vagabond se prépara à partir.
– Non, attends ! lui dirent les deux frères. Reste avec nous, tu seras notre invité.

En continuant de se préparer, il répondit :
– Je voudrais bien rester, mais j’ai d’autres ponts à construire…

—– Fin de cette histoire —–

Idée originale : auteur inconnu
Texte : Denis St-Pierre
 
 
J'aime cette histoire, car elle prouve que les cœurs justes, sont capables de reconnaître leurs erreurs. Nous ne sommes pas nous-mêmes à l'abri d'une maladresse ou d'une bévue...
Il suffit parfois de peu de choses pour pardonner, simplement se remettre en question et ne pas penser que systématiquement, c'est l'autre qui a tort. Quand bien même ce serait le cas, n'oublions pas que la vie est courte, alors n'attendons pas qu'il soit trop tard, car c'est le verbe pardonner qui fait vivre le verbe aimer...
 
 
 

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1 avril 2018 7 01 /04 /avril /2018 07:00
Un petit poisson...

 

Tu ne le sais pas,

mais il se retrouvera

accroché dans ton dos 

 

C'est ça qu'est rigolo 

tu  ne l'auras même pas pêché,

mais ce s'ra toi le p'tit piègé ! 

 

Le 1er avril 2010

©Harmonia.Messidor 

 

poisson 26

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8 février 2018 4 08 /02 /février /2018 10:24
La métaphore du sage et du scorpion

 

 

Un Sage voyant un scorpion se noyer, décida de le tirer de l'eau mais lorsqu'il le fit, le scorpion le piqua.

 
Par l'effet de la douleur, le Sage lâcha l'animal et celui-ci tomba à l'eau une seconde fois.


Il tenta de le tirer à nouveau et l'animal le piqua encore. Quelqu'un qui était en train d'observer se rapprocha et lui dit :

« Excusez-moi, mais vous êtes têtu ! Ne comprenez vous pas qu'à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l'eau il vous piquera ? »

Le Sage répliqua : « La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d'aider. »

Alors, à l'aide d'une feuille, il tira le scorpion de l'eau et le sauva de la noyade.

Puis il dit: « Ne change pas ta nature si quelqu'un te fait mal, prends juste des précautions. Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons pour sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu es, et ta réputation c'est ce que les autres pensent de toi... Et ce que les autres pensent de toi...c'est leur problème. »

 

Choisissons de ne pas chasser la semence de l’amour et de nos valeurs dans notre cœur.

Si notre amour et nos valeurs sont éprouvés, choisissez de les nourrir avec beaucoup de soin. Néanmoins, pensez à vous. Cet amour ou ces valeurs qui vous animent ne doivent pas se retourner contre vous. Cherchez l’équilibre dans tout ce que vous faites.

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5 août 2015 3 05 /08 /août /2015 07:30
Solitude

Comme promis, j'ai écrit un petit texte avec Vos MOTS, les mots que vous m'avez soumis, suite à la publication de cette photo sur Facebook. Je vous remercie d'avoir participé. Cet exercice est un moment de partage sans aucune prétention littéraire, simplement, l'envie de développer l'imaginaire... Que pensez-vous de l'expérience ? Merci à tous mes amis(e) Facebook,  qui ont contribué à l'élaboration de ce petit texte le21/01/2015 !

 

Derrière sa fenêtre, elle regardait tomber la pluie. Le froid dans la maison la glaçait. La solitude et la nostalgie matinale, la remplissaient de mélancolie.

Elle s'enfermait dans une prison intérieure, dont elle ne pouvait s'évader. Son avenir lui semblait bien sombre. Son coeur prisonnier d'un amour tragique, lui ôtait tout espoir d'avenir ...

Les yeux embués de larmes, le coeur rempli de tristesse, elle observait pensive, les oiseaux s'envoler vers la liberté, une liberté qu'elle pensait avoir perdu à tout jamais...

 

Etes-vous prêts(e) à renouveler l'expérience avec une autre photo ?

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3 juillet 2015 5 03 /07 /juillet /2015 08:45
La sagesse
"Il était une fois un vieil homme, assis près d’une oasis, à l’entrée
d’une ville au Moyen-Orient.
 
Un jeune homme s’approcha et lui demanda :
- Je ne suis jamais venu ici. Comment sont les gens qui vivent
dans cette ville ?
 
Le vieil homme lui répondit par une question :
- Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
 
- Egoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle
j’étais bien content de partir.
 
- Tu trouveras les mêmes ici, lui répondit le vieil homme.
 
Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa la
même question :
- Je viens d’arriver dans la région. Comment sont les gens qui vivent
dans cette ville ?
 
Le vieil homme répondit de même :
- Dis moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?
 
- Ils étaient bons, accueillants et honnêtes. J’y avais de nombreux amis,
et j’ai eu beaucoup de mal à les quitter.
 
- Tu trouveras les mêmes ici, lui répondit le vieil homme.
 
Un marchand, qui faisait boire ses chameaux, avait entendu les deux
conversations. Dès que le second jeune homme s’éloigna, il s’adressa
au vieillard, sur un ton de reproche :
 
- Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes
à la même question posée par deux personnes ?
 
Le vieil homme lui répondit :
- Mon fils, chacun porte son univers en lui-même. D’où qu’il vienne,
celui qui n’a rien trouvé de bon par le passé ne trouvera rien de
bon ici non plus.
 
Par contre, celui qui avait des amis dans l’autre ville trouvera ici aussi
des amis loyaux et fidèles.
 
Car vois-tu, les gens sont vis-à-vis de nous ce que nous projetons sur eux.
 
Les gens sont vis-à-vis de nous ce que nous projetons sur eux."
 
 
Vous est-il arrivé que des situations se répètent alors que vous
avez changé de ville, de travail, de partenaire ?
 
"Commencez par changer en vous ce que vous voulez changer autour de vous."
- Mahatma Gandhi
 
 
Amicalement,
 
Retrouvez des livres qui vous font du bien, dans la
sélection Amazon suivante :
 
Sans tout partager, il y a cependant de nombreuses idées à méditer dans les ouvrages proposés...
 
Voilà un conte riche d'enseignement, qui prouve que les réponses sont dans la sagesse et non pas dans une perpétuelle recherche de la perfection...
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7 mai 2015 4 07 /05 /mai /2015 08:00
Une belle leçon...

 

Un jeune-homme offrit une jolie poupée à sa fiancée. Déçue du présent, elle s'énerva, prit la poupée et la jeta dans la rue. Interloqué, il lui demanda pourquoi ? Elle lui répondit : -parce que, je n'aime pas ton cadeau ! Il se précipita dans la rue, afin de ramasser la poupée, mais surgit une voiture roulant à vive allure qui le renversa, causant ainsi sa mort.

Le jour de l'enterrement, la fiancée en larmes, laissa tomber la poupée qu'elle tenait serré sur son coeur, qui en tombant libéra de sa poche, deux alliances qui roulèrent à ses pieds...

La morale de cette histoire est simple : "Apprend à aimer ce que tu as, avant que la vie t'enseigne à aimer ce que tu as perdu"... 

 

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 20:40
L'histoire des trois passoires

LES TROIS PASSOIRES.

Quelqu'un arriva un jour, tout agité, auprès du sage Socrate:

- Sais-tu ce que je viens d'apprendre ?

- Un instant, répondit Socrate. Avant que tu me racontes tout cela, j'aimerais savoir si tu as fait le test des trois passoires ?

- Le test des trois passoires, De quoi s'agit-il ?

- Avant de raconter toutes sortes de choses, il est bon de prendre le temps de procéder à une petite sélection. C'est ce que j'appelle le test des trois passoires.

La première passoire est celle de la Vérité. As-tu vérifié si ce que tu veux me raconter est vrai ?

- Non, pas vraiment, je n'ai pas vu la chose moi-même, je l'ai seulement entendu dire.

- Très bien ! Tu ne sais donc pas si c'est la Vérité...

Essayons, malgré tout, la deuxième passoire, celle de la Bonté.
Ce que tu veux m'apprendre, est-ce quelque chose de bien ?

- Ah non, alors ! Au contraire!

- Donc, continue Socrate, tu veux me raconter des choses et en plus, tu n'es pas sûr qu'elles soient vraies... Voyons tout de même si cela aurait passé à travers la troisième passoire, celle de l'Utilité. Est-il utile que tu m'apprennes ce que tu sais ?

- Euh, non, pas vraiment!

- Alors, conclut Socrate, si ce que tu as à me raconter n'est ni vrai, ni bien ou ni utile, je n'ai aucune envie de l'entendre.

Combien de fois n'avons-nous pas entendu dire : on m'a dit... et tous ces : - on m'a dit, peuvent parfois détruire une vie ! Alors, (je vais même plus loin) pourquoi ce besoin de colporter des informations (même vraies), qui ne concernent que les intéressés, sachant qu'elles peuvent nuire aux personnes concernées ?

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Présentation

  • : Le blog de Harmonia : Pour un monde meilleur
  • : Mon blog se veut avant tout un lieu de partage, d'écoute, de tolérance et de respect. Il se compose de poésies, de biographies, de pensées et réflexions...
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Lisabuzz.com parle de Pour un monde meilleur : Alors là, franchement, c est du caviar, du web-caviar pour être exact ! Pour un monde meilleur regorge de traits d esprits et de perles linguistiques... D ailleurs, peut-on parler de Blog, alors qu il s agit, à n en pas douter, de grande litterature ? Le Nord Ouest a enfin trouvé son nouveau Victor Hugo en la personne de Harmonia.messidor. Ca va être dur de faire mieux. pourvu que ca dure ! signé http://blog.lisabuzz.com

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Mon blog n'a aucune prétention littéraire, simplement l'envie de partager avec vous, mes réfexions, mes pensées et parfois mes indignations...

Je remercie cependant LISABUZZ pour son commentaire plein d'humour...

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  Si toutefois, il s'avérait que l'une d'elles

est échappée à ma  vigilance, veuillez

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