Il faut le poids des années, pour comprendre combien la vie est un long apprentissage riche d'enseigements...

Condensé d'une histoire connue, riche d'enseignements...

Cette histoire est l'histoire de deux amis : Jacques et Jean, qui pour des raisons futiles se chamaillèrent, l'un gifla l'autre.

- Aujourd'hui, mon ami Jacques m'a giflé écrivit-il dans le sable.

Quelque temps après cet épisode,  Jean, sans l'intervention de son ami se serait noyé

- Aujourd'hui, mon ami Jacques m'a sauvé la vie, grava-t-il dans la pierre.

Pourquoi lui demanda son ami, avoir écrit sur le sable l'histoire de la gifle, et graver le sauvetage dans la pierre ?

Sa réponse fut la suivante :

- Il faut apprendre à écrire ses blessures dans le sable pour qu'elles soient rapidement balayées, mais il faut graver ses joies dans la pierre afin de leur donner une valeur d'éternité.

Pour me faire aimer, j'ai vraiment tout essayé. J'ai même changé de personnalité. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimé, j'ai acheté la paix, même si cette paix me troublait. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimé, j'ai pris tous les blâmes sur moi, même si je n'en étais pas la cause. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimé, j'ai tout accepté, même de pardonner l'impardonnable. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimer, j'ai accepté de me faire blesser verbalement sans jamais riposter. J'ai saigné abondamment et j"ai léché mes plaies. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimer, j'ai consenti à me faire rabaisser plus d'une fois. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimer, j'ai rien dit afin de vous protéger et j'ai tout enduré. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimer, je vous ai comblé de cadeaux et vous en avez longuement profité. Mais ça n'a rien donné.*

Pour me faire aimer, je vous ai donné du temps que je n'avais pas. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimer, j'ai toujours fait les premiers pas, même si vous saviez pertinemment que c'était à vous de les faire. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimer, j'ai essayé de vous comprendre tout en douceur, de différentes façons, mon besoin de vous, mon besoin de votre amour. Mais ça n'a rien donné.

Pour me faire aimer, j'ai finalement compris après plusieurs années de travail acharné, que c'était moi que je devais tout simplement... AIMER !

Nicole Charest

- Merci à  OVERBLOG (hébergeur)  de m'avoir rafraîchi la mémoire. Voilà 9 ans, je créais mon blog. Ce fut pour moi le début d'une grande aventure... Je n'étais plus une jeunette et ne connaissais rien à l'informatique, mes débuts furent laborieux ! Mais mon esprit curieux allait m'aider à surmonter les écueils, et les idées ont germé...

J'ai découvert internet sur mon téléphone fixe, un téléphone multifonctions, assez élaboré, mais limité pour réaliser mon projet, car l'écran était très petit... J'ai cependant commencé l'aventure avec les moyens du bord, en créant un blog, sans trop savoir où enregistrer, comment publier, comment répondre. C'était l'inconnu le plus absolu, le flou artistique en un mot...Je dus me familiariser avec les "outils" mis à la disposition des blogueurs. Je ne prenais cependant pas conscience de l'impact d'une publication sur internet...

En réalité, je pensais écrire comme on écrit dans un cahier à qui l'on raconte ses petites histoires... Mais voilà, mon "cahier" n'était plus mon jardin secret.

Il me fallut apprendre ... C'était où, tous ces machins-là ? Y'en avait partout, je me sentais submergé d'informations : en haut, en bas, sur les cotés...

Il y a les erreurs, celles qui vous font perdent tout ! Rentrer les photos dans mon "PERVERS", alors là, ce ne fut pas triste. Les rentrer, ok ! Mais maintenant, il  me fallait les ressortir, mais comment ? Je ne les retrouvais plus !

Ne parlons pas du langage informatique : html, css, java... Mais, qu'est-ce que c'est que tout ça ? Des trucs à vous rendre fou ! J'ai passé des heures et des heures à essayer de comprendre cette machine infernale Des migraines j'en ai connu, et des colères aussi. Comme j'ai regretté mon bon vieux stylo...

Mon étonnement fut grand, lorsqu'un 1er commentaire fut déposé sur ma publication. J'ai pris conscience que j'allais devoir faire un choix, afin de publier des sujets un peu plus élaborés.

Tout ça était sans prétention, je ne soupçonnais pas, que mes articles puissent intéresser quiconque, mais, suite à quelques visites et commentaires, j'ai essayé de soigner davantage mes publications, les accompagnants de photos, et en élargissant les thèmes choisis. Mon bonheur était de partager mes centres d'intérêt.

 Voilà 9 ans que l'aventure avait commencé ! Je remercie OVERBLOG d'avoir contribué à  créer de jolies rencontres, dont certaines sont devenues de véritables amis(e), avec lesquelles des liens se sont tissés...

Suite à cette expérience, et aux aléas de la vie... J'ai publié un petit recueil "Pour un monde meilleur". Il se compose de : Poésies, Pensées et réflexions et quelques Histoires pour les enfants.

Merci à tous ceux et celles  qui m'ont suivi, malgré mes pauses involontaires- mais malheureusement nécessaires- Merci pour les beaux partages et votre fidélité.

Je vous laisse le lien, pour les personnes intéressées par mon recueil :

©Harmonia.Messidor

https://www.edilivre.com/catalog/product/view/id/801903/s/pour-un-monde-meilleur-harmonia-messidor/

(ce texte n'à aucune prétention littéraire, simplement un "jet" du cœur que m'a inspiré l'information)

Abandonné, seul, tu errais dans la nuit
A la recherche d'une caresse, d'un mot gentil
Et toi adorable petit Mambo
Qui pensait le monde bon et beau
Tu t'es dirigé vers une bande de désoeuvré
 Confiant, ignorant leur funeste projet.
 Alors, qu'une main assassine t'aspergeait d'essence,
Une autre te maintenait, et c'est en toute conscience
Qu'ils ont allumé un briquet, afin de bien rigoler,
Te transformant en torche vivante, sous les quolibets.
Hurlant de douleur tu as fui, sans rien avoir compris
Tu pensais que sur terre, nous étions tous des amis.
Au petit matin, agonisant dans la rue
Tu fus enfin aidé et secouru.
Il te faudra une longue convalescence
 Et certainement subir les conséquences
Du geste de tes bourreaux
Pauvre petit Mambo.
Que la sanction infligée  à tes tortionnaires
Soit à la hauteur de ta douleur, de ta misère.
 Que le temps cicatrise tes pauvres blessures
 Et te donne de bons maîtres qui t'aiment et te rassurent
Qu'ils t'apportent l'amour et la tendresse
Et des milliers de douces caresses.
Longue vie à toi cher petit Mambo
 Que l'amour te fasse oublier tes bourreaux. 

(le 31 août 2009)
©Harmonia.Messidor