Il y a, je ne sais quoi d'émouvant
Et de fascinant
Dans la beauté de ton regard.
Un je ne sais quoi, infiniment
Plus tendre que la tendresse,
Infiniment,
Plus doux qu'une caresse.
Un je ne sais quoi,
Beaucoup plus chaud que l'été
Beaucoup plus attachant que la liberté
Un je ne sais quoi,
Qui, comme un astre brille
Dans la lueur ancestrale de ta pupille.
Un je ne sais quoi,
Enfoui au plus profond
De tes yeux
Où les larmes ne sont
Que bonheur
Un je ne sais quoi, sous d'autres cieux
Où l'irrél devient pudeur
Où le rêve devient délire
Un autre monde, où tes sourires
Ont immortalisés,
Par-dessus l'ennui, par-dessus la pitié
Le mot amour
Un je ne sais quoi
Qui te rend plus femme encore.
Patrick Bonnet